Cette lettre de début d'année se veut traditionnellement l'occasion de formuler des vœux. Un ami avec qui j'en discutais m'a dit « à quoi cela sert puisque cela n'empêche pas les évènements douloureux d'arriver ! ».
C'est une question de regard. Je lui ai proposé de regarder cette période de vœux comme un temps que l'on offre aux personnes que l'on apprécie et aux personnes qui en ont besoin. Prendre du temps pour les autres, leur accorder de l'attention.
Si cela n'efface pas les évènements difficiles vécus, le plaisir du partage met du baume sur les blessures et procure de la joie. La joie de donner, la joie de recevoir.
Je prend du plaisir à vous rédiger cette lettre, je prend du plaisir à vous enregistrer des méditations et à vous les offrir. Je crois en cela, je crois au partage, j'ai la foi en notre humanité, même si, parfois, l'extérieur voudrait nous prouver le contraire.
Cette année écoulée a été si particulière. Je ne parlerai pas de virus ou de confinement. D'autres s'en chargent. Ce que je garde de ces derniers mois c'est ce qui m'a fait grandir, comme ;
-
La solidarité dans l'adversité. Je parle de solidarité quotidienne, au niveau local. La prise de conscience que nous sommes tous liés.
-
Les moments de partage dans la sororité et la fraternité. Des moments de complicité et de pure bonheur avec mes collègues thérapeutes et avec vous tous qui avez partagé nos ateliers et stages, en présentiel ou par écran interposé. Votre présence durant tous ces mois m'a fait chaud au cœur et a adouci les moments difficiles.
-
La distanciation vis à vis des émotions et le pardon qui est venu s'imposer tranquillement. Je résume en une phrase un long cheminement intérieur. Le pardon n'est pas qu'un mot. C'est un travail important, le travail d'une vie. Et des moments comme ceux que nous vivons actuellement peuvent être une opportunité de travailler cela.
-
La richesse de notre belle nature. Durant ces mois de confinement, c'est comme si la nature avait profité de cet arrêt sur image pour révéler toute sa beauté, toute sa puissance, toute sa magie. Quel bonheur ces heures de ballade dans le Revermont.
-
Le plaisir de vivre et de respirer. Tout simplement. Accueillir notre présence dans ce précieux corps et la force de vie qui nous habite. J'en parle souvent dans mes méditations ou mes séances de sophrologie. C'est la base. Et s'il m'importe de vous accompagner dans l'éveil des consciences, cela passe d'abord par l'acceptation de ce corps, par l'acceptation de qui vous êtes. Ces moments d'arrêt ont pu être pour certains un temps pour s'occuper de soi et de son corps. Cela l'a été pour moi, avec la danse des lettres hébraïques.
Quelques phrases pour résumer ce que je retiens de ces mois écoulés. Et tout cela pourrait se suffire en un seul mot : GRATITUDE
Gratitude, c'est le titre que j'ai donné à cette courte méditation que je vous partage en cadeau.
OSONS
OSONS pour cette nouvelle année,
Rayonner l'amour en nous, à travers nous, autour de nous,
Rayonner le meilleur de nous, dans la conscience de notre corps
Dans un esprit rayonnant et immanent,
Révéler le créateur en nous,
Etre les pionniers de notre nouvelle humanité,
Etre le changement que nous voulons voir dans le monde, comme disait Gandhi,
Osons Etre,
Osons notre futur,
Osons aider,
Osons sortir du Je pour aller vers le Nous
Osons notre feu Igné
Osons rayonner,
Osons donner,
Osons partager,
Osons nous déployer
Osons rire,
Osons jouer
Osons etre joyeux
OSONS NOTRE LUMIERE
De si belles synchronicités,
De belles rencontres, de belles synchronicités, de beaux cadeaux de la vie...
Fleur de vie, symbole de Métatron, Labyrinthe. De précieux outils de travail façonnés par Olivier,
L'enseignement des Lettres Hébraïques par Raphaële - auteure du livre "Il y eut un soir, il y eu un matin", textes poétiques de retour à la source, préfacé par JY LELOUP,
Les hautes fréquences vibratoires de la musique par Jean-Jacques, Testez ici, pour ressentir !
Et tout récemment, MA SURYANANDA LAKSHMI, par les ouvrages qui m'ont été offerts par sa fille.
Je rends grâce.
Merci
Écrire commentaire