L'hyperactivité touche principalement les enfants entre 4 et 12 ans puis tend à disparaître après l'adolescence. L'enfant hyperactif parait constamment survolté.
C'est souvent en classe qu'apparaissent les prémices de l'hyperactivité. Souvent, l'enfant qui ne peut pas communiquer normalement reçoit en réaction à ses excès de l'agressivité de la part de
ses proches. Il se sent alors dévalorisé. Ce processus peut amener l'enfant vers des actes plus violents, cherchant à obtenir une réponse à l'isolement intérieur dans lequel il se
trouve.
L'hyperactivité n'est pas une fatalité et peut être accompagnée par des exercices ludiques visant l'apaisement mental (donc apaisement du système électrique du cerveau) et des exercices alliant psychomotricité, travail de la respiration et perception des cinq sens : vue, ouïe, odorat, toucher et gout.
En tant que parent d'un enfant hyperactif, on peu se sentir dépassé. L'Instant du Phénix vous aide à mieux comprendre l'hyperactivité et propose des exercices présentés sous forme de petits programmes quotidiens, relativement faciles à suivre pour l'enfant et les parents.
La sophrologie , les soins énergétiques et l'art thérapie pour vous aider.
Accompagnement lors des moments forts de votre vie : Adolescence, maturescence, vieillir sereinement, retraite, stress, examen, traumatisme, aide lors de traitement cancer, maladie, separation, élever seul(e) son enfant, rupture, deuil, demenagement, mieux vivre la chimiotherapie, confiance en soi, menopause, hysterectomie, divorce, anxiete, depression, burn out, licenciement, fausse couche, avortement, fibromyalgie, rhumatisme, maigrir, preparation entretien, preparation mentale, solitude, sortir de l'isolement - relation d'aide et d'écoute.
Sophrologue membre de la chambre syndicale de la sophrologie
Les séances proposées ne sont pas des actes médicaux (aucun diagnostic) et ne se substituent en aucun cas à un traitement ou à un suivi médical conformément à la loi du 30 avril 1946, au décret n° 60665 du 4 juillet 1960, aux articles L459 du décret du 8 octobre 1996.